Il se déroule selon un processus qui est présenté au client et acté dans un contrat au sein duquel, dans ma pratique, je mentionne :
Un contrat pose des repères, il rassure et encadre une relation de nature professionnelle, cependant, il reste souple notamment dans le nombre de séances.
Ce mot vient du latin où il signifie « action de s’avancer, mouvement en avant, marche », puis par extension « progrès, succès, heureux résultat ». Il peut être utilisé comme synonyme d’évolution sans que le résultat soit particulièrement heureux. Le terme « processus » s’applique aussi à une succession d’opérations décrivant une façon de faire, une façon de procéder. Le terme anglais « process » qui vient lui-même de processus est quelquefois traduit par procédé plutôt que par processus.
Ce terme est utilisé dans de nombreux domaines, aussi, quelles sont les caractéristiques qui s’appliquent au coaching ?
Puis, plus précisément, la Gestalt fait une grande place au processus au sens de « Comment ça se déroule » pour la personne dans son contact avec elle-même et avec les autres. Et c’est ainsi que dans le cadre des échanges, émergent des questions telles que : Comment voyez-vous cela ? Comment ressentez vous cette situation ? Comment la vivez-vous ? Comment vous la décririez ? Comment c’est pour vous quand vous …. ? Comment vous vous y êtes pris pour… ? Comment vous comprenez cela ? Comment vous pouvez faire différemment ?
Le coût est différent si la demande émane d’un particulier ou dans le cadre d’une entreprise. Le tarif peut être établi fermement par le coach et n’est pas variable. Le tarif peut également s’établir dans le cadre d’un échange coach-client. C’est à dire que le coach amène cette question dans le champ de la relation en posant la question de cette façon : « Quelle valeur attribuez-vous, donnez-vous à cet accompagnement que vous vous offrez ? ». Dans ce cas là, le coach se détermine un tarif planché.
Le recours au coaching est en lien avec le facteur culturel : accès plus aisé et spontané dans certains pays et aussi cela est lié également à la culture d’une entreprise. Outre le fait que le recours à des coachs ou des thérapeutes suscitent des craintes en lien avec des mouvements sectaires -et des cas sont connus- mon expérience me fait dire que ce qui rend difficile le fait de franchir le pas d’être accompagné est la peur.
On a peur de montrer « ses faiblesses » ou ce que l’on étiquette comme telles. On les nomme « faiblesses », reflet (et donc jugement) de ce que la société, le monde du travail et notre milieu familial ou enseignant nous a renvoyé ou nous renvoie, mais il n’en est rien en réalité. On peut oser, à son rythme, remettre en question ce que l’on a pris pour vrai et enfin se donner le droit de les passer « à la moulinette » de notre discernement. Ou alors ce peut être la peur de faire un pas vers l’inconnu, mais l’Un-connu c’est en fait faire un pas vers soi.
Alors osez porter un autre regard sur le coaching, je parle là d’un coaching où le processus et la relation avec le coach sont clairs et où vous vous sentez en confiance :
Souhaitez-vous que vos journées ressemblent davantage à un terrain de jeu ? Allez-vous tendre votre main et ouvrir un espace d’accueil ? Vers vous-même …
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