Une entreprise fait appel à un manager de transition lorsqu’elle souhaite opérer des modifications de stratégie, ou changer un mode de fonctionnement qui ne convient pas, ou plus. Le manager de transition doit alors réaliser une véritable mission de conseil pour remplir les objectifs de son client, de la sortie de crise à l’amélioration de la rentabilité.
Les prestations de services réalisées dans le cadre du salariat porté conviennent parfaitement à ce type d’activité professionnelle, puisqu’elle nécessite la mise à disposition rapide de prestataires qui ont un parcours professionnel riche et qui sont capables de mener à bien leurs missions.admissions vous propose de découvrir plus en profondeur le métier de manager de transition, ses missions, son profil et ses perspectives. Vous apprendrez alors en quoi cette profession rentre parfaitement dans le cadre du portage salarial.
Le manager de transition a plusieurs missions, qui lui permettront de réussir une transformation organisationnelle, et assurer la conduite d’un projet stratégique.
Il n’y a pas de parcours de formation défini pour devenir manager de transition. Si la plupart des professionnels exerçant ce métier ont suivi un cursus en école de commerce ou en université de gestion, c’est surtout l’expérience sur le marché du travail qui prime.
En effet, le métier de manager de transition s’adresse essentiellement à des cadres supérieurs qui ont de nombreuses années d’expérience sur des postes à responsabilités techniques ou managériales. La réussite professionnelle face à de tels postes permet d’accéder au métier de manager de transition après environ une dizaine d’années d’expérience.
Le manager de transition est amené à gérer des situations complexes, dans des entreprises en difficulté. Il doit donc présenter de réelles qualités de leadership, mais aussi de souplesse, d’écoute, et de réactivité.
Appelé pour une mission, le manager de transition a peu de temps pour s’adapter à la culture de l’entreprise, en comprendre son fonctionnement, et mettre le doigt sur les modifications à apporter. Il doit donc faire preuve d’adaptation et avoir de très bonnes capacités d’analyse.
Le professionnel va enfin devoir proposer un projet parfois difficile à accepter par l’entreprise et ses salariés. Il lui faudra donc prendre des décisions rapidement, et surtout s’imposer comme leader.
Le management de transition est un métier qui demande une certaine mobilité, et une grande résistance à la pression, pour pouvoir réaliser les défis imposés par les entreprises partout en France.
Exerçant souvent dans des situations de crise, le manager de transition se voit confier des missions de quelques semaines, à quelques mois, maximum. C’est donc naturellement que ces professionnels se tournent vers des statuts juridiques précis.
Il peut arriver, plus rarement, qu’une entreprise embauche un manager de transition en CDD, le temps d’effectuer sa mission à court terme.
Le manager de transition est un professionnel qui a déjà une belle carrière derrière lui, et de nombreuses années d’expérience. Cela n’empêche toutefois pas d’évoluer vers des postes différents. Bien souvent un manager de transition peut revenir à un statut salarié, et occuper des postes de direction d’entreprise. Il peut aussi prendre la direction générale d’une entreprise.
Le management de transition correspond à une mission temporaire de conseil confiée à un professionnel. Ce manager œuvre dans le cadre d’un besoin ponctuel en :
Ce manager de transition intervient donc directement au sein de l’entreprise. Il lui apporte son expérience, son soutien et son aide. Il participe ainsi au développement de l’entreprise dans le cadre de sa prestation hautement qualifiée.
Sa mission est actée par la signature d’un contrat qui précise :
Le manager de transition est donc un cadre formateur ou un ingénieur hautement qualifié. Il endosse ainsi le rôle d’interface entre les différents services concernés et est une force de proposition fiable.
Le manager de transition est généralement un intervenant indépendant. Dans ce cadre, son statut est tout à fait adapté au portage salarial qui transforme le montant de sa prestation en un salaire.
Ce salaire peut être versé en une seule fois dans le cas d’une mission de courte durée ou être lissé sur une période plus longue, selon le terme de l’intervention en entreprise.
Un manager de transition représente un avantage pour l’entreprise qui s’entoure d’un professionnel et règle uniquement une note d’honoraires. La société de portage transforme ensuite cette dernière en un salaire reversé au manager qui n’a aucune gestion administrative à assurer.
On entend par chef de projet, une personne spécialisée dans le développement stratégique d’une entreprise. Ce besoin en développement peut être de l’ordre du juridique, de l’informatique, du commercial, de la technique ou des relations humaines. L’entreprise est donc concernée à tous ses niveaux par l’intervention d’un chef de projet.
Le portage salarial s’adapte à chaque chef de projet. Il peut être retraité et rechercher un complément de revenu en tant qu’ancien cadre en entreprise. Il peut également être un micro-entrepreneur qui désire passer progressivement au statut de salarié.
Le portage salarial couvre l’ensemble de la prestation du chef de projet, tant qu’elle est définie dans le contrat signé entre les parties.
Le chef de projet ne doit pas intervenir en tant que profession réglementée (avocat ou notaire par exemple). Le conseil en entreprise est, quant à lui, éligible au portage salarial.
Ainsi, le chef de projet pourra, entre autres :
La société de portage propose une assurance de groupe au chef de projet. Cette assurance comprend la couverture en responsabilité civile professionnelle du chef de projet, pour tout dommage qu’il pourrait créer à l’entreprise dans laquelle il intervient.
Un risk manager apporte une valeur stratégique à l’entreprise. Il analyse et précise les risques encourus par celle-ci comme la fragilité financière, le risque humain ou les failles techniques d’une entreprise.
Le risque manager peut être salarié d’une entreprise. Titulaire d’un diplôme d’ingénieur ou de troisième cycle spécialisé, il intervient aussi bien en risk management pur ou peut adjoindre une expertise technique supplémentaire, comme l’analyse d’une chaîne de production.
Certains risk managers ont un statut de consultant indépendant et interviennent auprès de plusieurs entreprises clientes dans la spécialisation qui est la leur. Ces risk managers peuvent être installés en tant que micro-entrepreneurs ou être salariés d’une société de portage.
Le statut de salarié-porté permet de conserver un statut de salarié avec les avantages qu’il comporte :
Il intervient généralement au niveau de la direction de l’entreprise dans les domaines suivants :
Son expertise permet de mettre en place les limites de la prise de risques et d’assurer la coordination de l’ensemble.
Le risk manager spécialisé dans la gestion de la production d’une entreprise analyse et remet des préconisations quant aux moyens et procédés de fabrication d’un produit. Il tient compte des risques environnementaux, financiers, humains, sécuritaires et quantitatifs.
L’entreprise peut faire appel à un manager de production lorsqu’elle désire élargir son marché et lancer la fabrication de nouveaux produits. Le manager de production intervient donc en amont du projet et crée la chaîne de production depuis l’approvisionnement jusqu’à la livraison finale du produit.
Son expertise en ingénierie et procédés de fabrication fait de lui le référent des techniciens et ingénieurs de l’entreprise, qui peuvent ainsi s’appuyer sur son professionnalisme. Son rôle est, entre autres, de vérifier la supervision du process de fabrication.
Une mission de ce type est généralement de longue durée. Le portage salarial est donc le moyen idéal d’avoir un statut légal tout en étant indépendant.
Ce type d’intervention en entreprise est couvert par un contrat de prestation réglé par honoraires. Le statut de microentrepreneur n’est pas idéal pour cette mission. Il n’ouvre, en effet, aucune possibilité de récupération de la TVA par l’entreprise cliente et aucune récupération de frais pour le manager de production en mission.
Ces frais (déplacement, nourriture, hébergement) se retrouvent obligatoirement inclus dans la prestation totale et font donc l’objet du paiement de charges sociales sur de l’argent déboursé par le prestataire.
Un contrat signé avec l’entreprise de portage permet, par contre, de bénéficier du remboursement des frais engendrés et qui, ainsi, ne sont pas soumis à l’application de charges sociales.
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